Dans une situation de crise, tout le monde avait espoir que l’on pouvait enterrer la hache de guerre. Malheureusement, la rencontre entre la direction et les supporters a vite tourné au fiasco lorsque la question des Gladiators est abordée notamment sur l’usage des fumigènes. Le président Rani Assaf s’est alors montré très méprisant et ferme en voulant que l’association des ultras signe sa charte. Dimitri Pialat, président des Gladiators a tenté de le convaincre en souhaitant que les membres du groupe signent individuellement et non au nom de l’association. Plusieurs autres questions ont été abordées sans réellement de réponses. Notamment celles d’un chroniqueur de la Team NO qui a traité Rani Assaf du « président du désamour ».
Au sujet de la faible affluence au stade, Embarek a tenté de mettre le président face à ses responsabilités en prenant l’exemple de Nancy qui a eu des soucis avec ses supporters et qui cette saison est reparti de l’avant en National 1 avec 7 000 supporters au stade.
Quand un supporter Nîmois face à leur président, prend en exemple Nancy sur les nouvelles relations entre le club et les supporters.
— 𝗙𝗮𝗻𝘀 𝗢𝗳 𝗡𝗮𝗻𝗰𝘆 (@asnlfans) September 25, 2022
Bon courage aux Nîmois dans leur combat ! 💪🏻
(🎥 @Nemausus_1937) pic.twitter.com/eXd61K03wP
Les Gladiators quittent les lieux
Les Gladiators et la plupart des supporters quittaient finalement les lieux avant la fin du débat en chantant « On est là, même si Rani ne le veut pas, nous on est là ! ». On ne sait pas comment ça se finira, mais le club est actuellement 17ème de Ligue 2 et premier relégable. Affaire à suivre !
— Le 11 de Nîmes (@Le11deNimes) September 24, 2022